Jiří Antonín Benda, Josef Hála - Harpsichord Concertos

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Review by abdul tambunan

The album Harpsichord Concertos by Jiří Antonín Benda and Josef Hála is a delightful collection of Baroque music that is sure to captivate any classical music lover. The album features four harpsichord concertos by Benda and two by Hála, all performed by the Prague Chamber Orchestra and conductor Jiří Bělohlávek, with Hála himself playing the harpsichord solos.

The performances are exquisite, with the Prague Chamber Orchestra bringing a sense of elegance and refinement to the music. Hála's harpsichord playing is virtuosic, and he brings a great deal of passion and energy to the solo parts. The ensemble work is tight and precise, with the musicians displaying an impressive level of musicality and technical skill.

The concertos themselves are a joy to listen to, with intricate melodies, complex harmonies, and a wide range of emotions. Benda's works are particularly noteworthy, with his use of chromaticism and unexpected tonal shifts adding a sense of drama and tension to the music. Hála's concertos, meanwhile, are more playful and light-hearted, with a strong sense of rhythm and a cheerful, upbeat mood.

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  • FLAC size: 465.3 mb

Tracks

TrackDurationPreview
I. Allegro Moderato6:30
II. Andante Con Moto4:30
Concerto In B Minor
III. Allegretto Di Molto4:10
II. Larghetto7:15
II. Arioso. Andante6:00
Concerto In F Minor
III. Allegro Scherzando2:00
Concerto In G Major
III. Allegro4:50
I. Allegro6:20

Video

Josef Hála (harpsichord) & string quintet: J. A. Benda, concertos for harpsichord and strings

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1SUPD 007

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Supraphon

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Formats

  • Vinyl
  • LP

Credits

RoleCredit
CadenzaJosef Hála
CelloFrantišek Sláma
Composed ByJiří Antonín Benda
CoverMilan Jaroš
Double BassFrantišek Pošta
EngineerJiří Očenášek
HarpsichordJosef Hála
Liner NotesDr. Zdeňka Pilková
PaintingJan Kupecký
Photography ByJaroslav Kubec
Recording SupervisorDr. Milan Slavicky
ViolaKarel Špelina
ViolinAntonín Novák

Notes

  • Original Recording Supaphon Prague
  • On the labels: ℗ 1976

Barcodes

  • Matrix / Runout (Side A): E 3677
  • Matrix / Runout (Side B): E 3678
  • Matrix / Runout (Side C): E 4073
  • Matrix / Runout (Side D): E 4074

About Jiří Antonín Benda, Josef Hála

Czech composer (June 30, 1722, Staré Benátky, Czechia  November 6, 1795, Bad Köstritz, Saxony) of early classicism. He created a scenic melodrama as a new musical genre. In his dramatic and instrumental works, he preceded Beethoven in many things and, in the atmosphere of his work, even Romanticism. Younger brother of .

Real Name

    • Jiří Antonín Benda

Name Vars

  • Benda
  • F. Benda
  • G. (J.A.) Benda
  • G. Benda
  • G.A.Benda
  • G.Benda
  • Georg Benda
  • Georg (Jiri Antonín) Benda
  • Georg Benda
  • George Benda
  • J. A. Benda
  • J. Benda
  • J. F. Benda
  • J.A. BENDA
  • J.A. Benda
  • J.F. Benda
  • Jiri Antonin Benda
  • Jiri Benda
  • Jiři Antonin Banda
  • Jiří Anton Benda
  • Jiří Antonin Benda
  • Jiří Antonín Benda
  • Jiří Antotnín Benda
  • Jiří Benda
  • Бенда
  • Георг Бенда
  • Й. А. Бенда
bdultamb

Summary by abdul tambunan

Harpsichord Concertos is a superb album that showcases the talents of both Benda and Hála, as well as the skill of the Prague Chamber Orchestra. It is a must-have for anyone who loves Baroque music, and a testament to the enduring power and beauty of classical music.

Comments

32:35 Beautifull ending od 3rd movement of b minor concert with excellent Mr. Hála´s own divisions of sixteenth notes into sixteenth triols 33:12 in the 2nd half of it.
Jiří Antonín BENDA 1722 -- -1795   ...   Bohemia   … He studied with Piarists in Kosmonosy and Jesuits in Jicin .  ..  In 1742 he moved to Berlin , where his parents were invited by Prussian King Friedrich II, who was an admirer of his brother, composer and violin virtuoso ***František Benda . He stayed in Germany until 1778 , when he tried to acquire a bandmaster at the German opera in Vienna , which Joseph II wanted to establish  … However, he failed the taste of the Viennese audience and resigned from the composer's career, and he spent the rest of his life wandering from place to place and devoting himself entirely to philosophical reflections … he was a member of the Masonic Lodge WIKI translation
TY for the upload
Supraphon Records always sounded very brilliant and clear, good for the harpsichord. Benda was a pretty lively composer. Good stuff.
These recordings all seem to be a half-step higher than the given keys. Do you know if the turntable is correctly calibrated, or is it that they tuned high?
*_Dr. Zdeňka Pilková wrote as documentation in 1976 for this recording in the French Language 1/1_*
JIRI ANTONIN BENDA (1722-1795) écrivit
à côté de quatre mélodrames, de six 'singspiele', d'un
bon nombre de cantates d'église, de symphonies,
d'oeuvres de chambre et d'une quantité de petites
pièces pour clavecin aussi au moins dix concertos
pour clavecin dont neuf se sont conservés, un fut
perdu, mais nous savons de son existence d'une
annonce contenue dans le catalogue de Breitkopf.
La date précise de leur naissance n'est pas connue,
de quelques-uns nous connaissons seulement la
date de leur édition: on peut supposer qu'ils aient
été écrits dans la période de 1748-1780 et que la
p lupart d'entre eux fut destinée aux propres besoins
de leur auteur qui, très bon claveciniste luimême,
les jouait à des occasions concertantes les
plus diverses.
Au point de vue du style, les concertos pour
clavecin de Benda sont variés: la succession de
plusieurs styles à ce temps se reflète aussi dans sa
composition. Des réminiscences de l'étape précédente
apparaissent à plusieurs reprises.
Le clavecin est employé et comme instrument
soliste et comme instrument accordique de la basse
générale. Dans ces deux cas son antithèse sont les
cordes; le concerto pouvait être joué ou bien par un
petit ensemble orchestral ou bien - comme dans
notre enregistrement - comme une composition
nettement de chambre avec un quintette de cordes.
Le Concerto en fa mineur avec ceux en sol mineu~
(non enregistré ici) et en si mineur forment le
sommet de la création de ce genre de Benda. Sa
naissance peut être placée dans la dernière époque
créatrice du compositeur, vers la fin des années
soixante-dix. Dans ce Concerto on ne trouve pas de
passages virtuoses spectaculaires, du reste, les tutti
et l'instrument soliste ne sont pas en bien des
endroits tranchés distinctement, mais se fondent
dans un seul courant dramatique. Le 1er et le 3e
mouvements sont des allégros tumultueux et
d'une cadence vive, aux accents dramatiques,
ayant une harmonie variable et un rythme changeant.
Au centre de ces deux mouvements est situé
le mouvement médian où les cordes avec sourdines
soulignent l'atmosphère fondamentale du mouvement,
éclaircie, quasi immergée dans les pensées
intimes. Ici peut-être, l'élément concertant s'efface
le plus.
Le Concerto en si mineur fut sans doute l'oeuvre
préférée car il se trouve conservé en plusieurs
copies de l'époque. Il fut probablement écrit au
début des années soixante-dix. Il diffère du
Concerto en fa mineur surtout en ce que le 3e
mouvement n'est pas si dramatique et dans l'expression
si concentré, l'élément concertant y est
p lus apparent. L'apogée de l'oeuvre est incontestablement
le mouvement lent. L'Arioso ' du Concerto
en si mineur appartient aux plus réussis et
son noble caractère chantant, se déroulant doucement
et sans interruption au-dessus de l'accompagnement
de la basse générale permanent, se
voûte en de beaux arcs à vaste haleine.
Le Concerto en sol majeur qui fut publié en 1779 à
Leipzig chez Schwickert, représente dans le présent
enregistrement les concertos de Benda en
tonalité majeure qui se distinguent très remarquablement
des concertos en tonalité mineure par tout
leur caractère. Ils sont d'une atmosphère plus
simple, aussi leur structure est ingénue. A bea';lcoup
d'endroits, le dessein concertant se fait sentir
se manifestant, dans le Concerto en sol majeur,
parfois par une surabondance de passages ascendants
et descendants, d'accords arpégés. En revanche,
ce Concerto possède d'autres qualités
dénotées le plus fortement dans le mouvement
final. C'est comme si ici l'autre pôle de la personnalité
de Benda trouvait sa forme cristalline: la
musicalité élémentaire, spontanée. Le thème
périodiquement articulé, revenant à la manière
d'un rondo, est si proche des danses tchèques, qui
furent des précurseurs de la polka, que ses racmes '
dansantes et populaires sont évidentes.
*_Dr. Zdeňka Pilková wrote as documentation in 1976 for this recording in the German Language 1/1_*
JIRI ANTONIN BENDA (1722-1795) hat ein
Lebenswerk hinterlassen, das außer vier Melodramen,
sechs Singspielen, einer Reihe geistlicher
Kantaten, Sinfonien, Kammerwerken und vielen
kleineren Cembalo-Piecen noch wenigstens zehn
Cembalokonzerte umfaßt: neun davon sind auf
uns gekommen, eines ist verlorengegangen, a b er
es figuriert im Breitkopf-Katalog. Ihre Entstehungsdaten
sind unbekannt, bei einigen kennt man
das Jahr der Edition. Man darf voraussetzen, daß
sie im Abstand von 1748-1780 komponiert
wprden und daß Benda, der ein vorzüglicher
Cembalospieler war, die meisten für sich selbst
geschrieben hat, um sie bei verschiedensten Konzertgelegenheiten
vorzutragen.
Stilmäßig sind Bendas Konzerte mehrdeutig:
als Werke, die zwischen zwei Epochen entstanden
sind, lassen sich in ihnen mehrere Stilebenen
wahrnehmen. In vielen Belangen klingt in ihnen
die vorige Epoche nach.
Das Cembalo wird als Solo- oder aber als akkordisches
Generalbaß-Instrument b enützt. In allen
Fällen bilden seinen Gegenpol die Streicher.
Das Konzert konnte in einem kleinen Kammerensemble
oder - wie in der vorliegenden Aufnahme
- mit einern Streichquintett, somit als echte
Kammerkomposition, ausgeführt werden .

Das Konzert f-moll gehört - zusammen mit jenem
in g-moll (hier nicht aufgenommen) und in
h-moll - zu den Spitzenwerken Bendas auf diesem
Gebiet. Seine Geburt kann in die letzte Schaffensperiode
des Meisters gelegt werden, ans Ende
der siebziger Jahre. In diesem Werk findet man
keine effekthaschenden virtuosen Passagen, übrigens
erscheinen die Tutti und das Soloinstrument
an vielen Stellen nicht scharf voneinander getrenn t,
sondern sind zu einern einzigen dramatischen
Strom zusammengefügt. Der I. und der 3. Satz
sind heftig vorwärtsdrängende Allegri mit gewaltigen
dramatischen Akzenten, mit reich variabler
Harmonie und ebensolchem Rhythmus. Inmitten
dieser zwei Sätze befindet sich der langsame Satz,
wo die sordinierten Streichinstrumente die verklärte,
gleichsam tiefinnerliche Stimmung akzentuieren.
Hier vielleicht schwindet am meisten das
konzertante Element.

Das Konzert h-moll war offenbar ein beliebtes
Werk, denn es ist in mehreren Abschriften auf uns
gekommen. Es entstand wahrscheinlich Anfang
der siebziger Jahre. Von dem Konzert f-moll
unterscheidet es sich namentlich dadurch, daß der
3. Satz im Ausdruck nicht so dramatisch und konzentriert
ist: das konzertante Element hat größeren
Anteil daran. Den Höhepunkt des Werkes
bildet unstreitig der oiangsame Satz. Dieses Arioso
gehört zu den gelungensten und seine edle Gesangslinie,
die sich langsam und ohne Unterbrechung
über der ständigen Generalbaßbegleitung windet,
wölbt sich in schönen breitatmigen Bögen.

Das Konzert G-dur, das 1779 in Leipzig bei
Schwickert herausgegeben wurde, vertritt in dieser
Aufnahme Bendas in Dur-Tonarten geschriebene
Konzerte, welche sich ihrem ganzen Charakter
nach von jenen in Moll-Tonarten wesentlich
unterscheiden. Sie sind nicht so stimmungsreich,
ihr Aufbau ist einfacher. An vielen Stellen überwiegt
die Absicht, das Werk als ein echt konzertantes
zu gestalten, was sich im G-dur-Konzert manchmal
durch fast übermäßig angebrachte Läufe,
Passagen, zerlegte Akkorde kundgibt. Dafür kennzeichnet
sich dieses Verk durch andere Vorzüge,
die am stärksten im Schlußsatz auf den Plan treten.
Hier scheint der andere Pol von Bendas Persönlichkeit
kristallisiert zu sein : sein elementares,
spontanes Musikantentum. Ein periodisch gegliedertes
Thema, das nach Art eines Rondos wiederkehrt,
steht so nahe jenen tschechischen Tanztypen,
die der Polka vorausgingen, daß seine tanzund
volksmäßigen Wurzeln unstreitbar sind.
*_Dr. Zdeňka Pilková wrote as documentation in 1976 for this recording in the English Language 1/1_*
Apart from four melodramas, six 'Singspiele', a
number of church cantatas, sinfonias, chamber
works, aqd many minor harpsichord pieces, JIRI
ANTONIN BENDA (1722- 1795) also composed
at least ten harpsichord concertos: nine have been
preserved, and the existence of a tenth is known
from the Breitkopf catalogue. Only the date of
publication is known of some of them, but not the
year when they were written; we can assume that
Benda composed them between 1748 and 1780,
mostly for his own concert performances, since
he was an excellent harpsichordist in his own
right.
Like other compositions dating from transitional
periods, Benda's harpsichord concertos feature a
combination of several styles, some of them echoes
of the preceding period.
The harpsichord is employed both in solos and
as the chord figured-bass instrument. Strings are
its only counterpart throughout; Benda's concertos
could be played either in a small orchestral combination,
or -like on this record - as a chamber
composition par excellence, with a string quintet
only.

Concerto in F minor is one of Benda's three supreme
harpsichord concertos, along with his concertos
in G minor (not recorded here) and B
minor. It was probably composed in the late
seventies, at the end of the composer's creative
p eriod. It features no virtuoso passages for their
own sake, and anyway there is often no sharp
division between the 'tutti' parts and the solo
instrument, which merge in a single dramatic
flow. The 1st and the 3rd movements a re stormy,
fast-flowing allegros with powerful dramatic
accents, and richly varied harmony and rhythm.
The two outside movements frame the slow middle
one, whose basically cheerful, but somewhat meditative,
mood is underlined by 'con sordini' strings.
Here, perhaps, the concertante element is most
evidently on its way out.

Concerto in B minor must have been a highly popular
work, since it has been preserved in a number
of contemporary copies. Composed most
probably in the early seventies, it has a less dramatic
3rd movement: its expression is also less concentrated,
and the concertante element plays a
more important role. The slow movement is certainly
the climax of the work. This Arioso ranks
among Benda's best, and the noble tunefulness of
its slow, continuous flow over the steady figured bass
accompaniment produces lovely broad-span
arches.
Concerto in G major, published 1779 in Leipzig by
Schwickert, represents on this record Benda 's
concertos in major keys, much different in character
from his minor-key works. Generally speaking,
they are less complex in terms of moods and
architecture. The concertante approach often
evident in them produces in the G major concerto,
now and then, an excess of running passages and
broken chords. Nevertheless, this work has special
qualities of its own, most strikingly featured in the
final movement, a pure specimen of the other
facet of Benda's personality: spontaneous music making
of the most vital type. With its periodical
structure, and its rondo-type returns, the theme
has so much in common with the forerunners of the
polka in Czech dance music that the folk and dance
roots of the theme are clearly in evidence.